

Le Manifeste
L’association Roots of The Sea - Rasin Lanmè s’inscrit dans la lutte contre le changement climatique, l’érosion de la biodiversité et les injustices sociales et climatiques. Nos actions visent à réduire les impacts pesant sur nos écosystèmes, les espèces humaines et non humaines qui y vivent. Plus qu’une conviction, notre engagement est de fédérer et créer un véritable impact sur la société caribéenne. Notre vision s’articule autour des trois axes majeurs et intemporels qui constituent les piliers de l’association.
Agir aujourd’hui dans le cadre d’une réflexion à long terme
Développer nos actions et messages en s’affranchissant du temps malgré l’urgence d’agir : pour une portée pérenne, longue, qui s’inscrit dans le temps du vivant
Miser sur des générations-à-impact
Co-construire (transmettre, éduquer, partager) avec les générations-à-impact, les outils de développement d’un futur centré sur la durabilité écologique.
Promouvoir une collaboration caribéenne efficace.
Contribuer positivement au renforcement du maillage caribéen autour des problématiques liées à l’environnement via la facilitation des échanges inter-îles, le partage d’expériences, la valorisation des leçons apprises.



La charte
Adhérer à l’association, c’est adhérer à un ensemble de valeurs qui s’appliquent à notre mission et notre champ d’action.
Notre mission s’inscrit dans la lutte contre le changement climatique, l’érosion de la biodiversité et les injustices sociales et climatiques.
Par nos actions nous souhaitons réduire les impacts pesant sur nos écosystèmes, et les espèces humaines et non humaines qui y vivent.
Adhérer à Roots of the Sea, c’est aussi être conscient.e :
-
De l’impact du changement climatique sur les écosystèmes marins et terrestres.
-
De l’érosion de la biodiversité qui pèse sur les espèces non humaines à l’échelle globale.
-
Des injustices écologiques qui peinent à être sanctionnées et réparées, excluant les droits des populations locales et indigènes.
-
De la pression subie localement par les écosystèmes marins et côtiers de la Martinique.
-
De la fragilité de la dépendance des populations côtières aux ressources marines.
-
Des problématiques environnementales propres à la Martinique (utilisation de pesticides dans un contexte insulaire, extension légale et illégale de développement/habitations sur la zone littorale, etc.)
-
Du rôle crucial de transmission de la connaissance sur l’environnement qui nous entoure via une éducation intergénérationnelle.
-
De l’importance du respect et d’intégration des cultures locales.
-
Du besoin d’un environnementalisme intersectionnel, reconnaissant que l’exclusion des individus/ groupes minoritaires ou marginalisés, notamment selon leur appartenance sociale et/ou ethnique, leur genre et leur orientation sexuelle, ne permet pas de répondre équitablement aux problématiques environnementales et sociales.